course a pied

La JDA (Jeanne d'Arc Dijon Bourgogne), notre club de basket, a validé son accession à la finale de ProB (samedi 11 juin, à Paris-Bercy) grâce à une nette victoire lors de la demi-finale retour face à Boulogne-sur-Mer (92-63), vendredi. Deuxièmes de la saison régulière, les Dijonnais pourraient même être certains de rejoindre l'élite (Pro A) avant de jouer la finale. Il suffirait pour cela que Nanterre l'emporte sur Fos-sur-mer dans la deuxième demi-finale. Premier avant les play-offs, Nanterre est en effet déjà assuré de sa place en Pro A et sa présence en finale, quel qu'en soit le résultat, enverrait les Dijonnais dans l'élite. 

Alors, à bientôt en Pro A pour rejoindre nos amis chalonnais.

Il y avait quelques années, on l'avait rêvé lorsque Rudi Garcia était l'entraîneur de notre équipe nous amenant en demi-finale de la Coupe de France.  Il y resta 5 ans. Alors que cette année, avec le LOSC (Lille), notre ancien entraîneur est devenu champion de France et qu'il a gagné la Coupe de France, et bien, le DFCO rejoint l'élite du football français. Un clin d'oeil de la destinée ... C'est ainsi que nous recevrons au le LOSC, Marseille, Lyon, Saint-Etienne, Bordeaux, le PSG, et nos voisins de coeur ... Auxerre et Sochaux. Bravo à Patrice Carteron. Sans oublier Florent Malouda qui entre dans le capital de notre club.

Alors, à bientôt sur le terrain, à Gaston-Gérard. 

Un moment de détente sympathique au Palais des Sports de Dijon avec la rencontre entre la JDA Dijon (2nd de la Pro B) et Maurienne (7e). Après 2 quart-temps difficiles, une 3e d'anthologie, Dijon a assué pour terminer sur le score de 72-56. A voir au match retour en Maurienne et un éventuel 3e match à Dijon mardi prochain. Hélas, je ne serais pas là. Allez Dijon. Alain

En partant de chez moi (prés de la place Darcy), je pars en trotinant vers le lac Kir par la "Trouée verte" pour continuer à faire mes 6 kilomètres quotidiens minimum qui me permettront de me balader, comme chaque année, autour du massif du Mont-Blanc. Et quelques minutes aprés mon départ, je traverse en quelques foulées ce magnifique jardin de l'Arquebuse où je peux respirer à plein nez ces fleurs entretenues par les jardiniers de la ville de Dijon.

Pour ceux qui ne le connaissent pas, voici quelques informations permettant de le découvrir et de l'apprécier.

Ce jardin extraordinaire, situé en plein centre ville et face à la gare, présente de façon ludique et interactive la faune et la flore de Bourgogne mais permet également de découvrir les nombreuses espèces vivant sur les 5 continents ainsi que les milieux naturels dans lesquels elles évoluent. L'importance des sciences dans le monde dans lequel nous évoluons n'échappe à personne et devient « l'affaire » de tous. C'est ainsi, tout naturellement, que le Jardin des Sciences de Dijon se consacre à cette mission afin d'aider les jeunes, et moins jeunes, à comprendre et respecter l'environnement dans lequel ils vivent.
Se cultiver en se distrayant pourrait être la devise de cet établissement de connaissance. C'est un complexe unique, dédié à la culture scientifique dans toute sa diversité. Il offre aux visiteurs l'opportunité d'appréhender la nature et les sciences de manière ludique. Acteur de la culture scientifique, témoin des innovations muséographiques grâce aux techniques modernes, le Jardin des Sciences de l'Arquebuse se veut attractif, témoin du passé mais résolument tourné vers l'avenir.
Ainsi aujourd'hui, 4 pôles essentiels constituent le Jardin des Sciences :
- Le Pavillon de l'Arquebuse (collections permanentes)
- Le Pavillon du Raines (expositions temporaires)
- Le Jardin Botanique
- Le Planétarium Hubert Curien (actuellement exposition sur les pachydermes).

Et voilà, chaque jour où je suis présent à Dijon, je passe au milieu des fleurs et respire ainsi la beauté. A plus.

Cela fait drôle de regarder des souvenirs en arriére. Il y a 29 ans, je faisais cette grande course parisienne avec la célébre montée de la Côte de Meudon.

Bises à ceux que j'aime.

Oui, en effet, j’ai décidé de repartir vers l'une de mes passions de jeunesse, la course à pied.

Mon objectif ambitieux (sourires de certains) est de perdre 15 kg et de courir un semi en moins de 2 heures dans 12 mois. Il y a du travail. Il faut remettre la machine en marche à 61 ans.

Amis dijonnais ou bourguignons, seul c’est dur, peut-être pouvons nous joindre nos efforts … .

Cela me trottait la tête depuis quelque temps (il faut que je l'aère le cerveau) et ce qui m'a décidé, c'est le beau reportage de France 2 sur le Marathon de Paris, des souvenirs me sont revenus. Merci à Jalabert qui m'a fait revivre de vieilles sensations par son reportage réalisé en courant au milieu des autres concurrents. Il m’a fait vibrer. Ce sportif sans langue de bois devait, une fois le marathon terminé prendre sa douche, sauter dans un hélicoptère pour assurer le reportage de Paris-Roubaix en cyclisme.

Bravo aux 3 vainqueurs.

En handisport (j’ai énormément de respect pour eux, quel courage, nous les applaudissions en passant prés d’eux en courant), le Suisse  Frei suivi de 2 Français.

Chez les hommes, l’Ethiopien Tadesse Tola a pulvérisé son propre record de ... 9 minutes. Un exploit pour ce jeune coureur dont on parlera désormais.

Chez les femmes, l’Ethiopienne Baysa a doublé la mise (elle avait gagné l’an dernier) en battant le record du parcours. Notre Française, Christelle Daunay, a terminé seconde (quel sprint final, la main dans la main de son compagnon à l’arrivée) et en a profité pour battre le record de France en … 2h 24mn 22 secondes.

Je me sens petit à côté, mais cela me faisait tellement de bien. Mon record personnel établi en 1982 (il y a 28 ans, au siècle dernier il est vrai) est de 3h 12mn 49secondes.

J’ai retrouvé cette photo de mon parcours à New-York, en 1985 (je portais le dossard 3190 et oui, j'avais la moustache) réalisé en 3h 48mn 53sec et le diplôme adhoc.

C’était très bien si on prend en compte le décalage horaire, la réception à l’ONU, le défilé dans New York, la pasta party au Reservoir, l’heure trés matinale pour aller prendre le départ à Staten Island, le départ sur le Verrazano, …. pour finir à Central Park où l'accueil des bénévoles avec une couverture de survie est unique. 

J'ai terminé 29 marathons et abonné au 30e ... Que de bons souvenirs.

De temps à autre, je vous reparlerais de ma progression vers ce nouvel objectif.