Merci à tous mes visiteurs. Alain

Alain Lequien nous dévoile ici la face cachée des sites historiques de la région, tels Fontenay, Source-Seine, Montigny-Montfort, sans oublier, bien sûr, le célébrissime Alésia… Il nous fait revivre la bataille du rail entre Épinac et Pont-d’Ouche, les tribulations de Mandrin et de Lacenaire, ou encore le martyre de la pauvre sainte Reine, assassinée par le cruel Olibrius.

La Côte-d’Or, c’est aussi un pays de légendes, terre de sabbats et de diableries, où l’on rencontre, à la croisée des chemins, un Gargantua affamé, une vouivre en haillons, quelques dames blanches et autres bêtes fâramines… Les sources miraculeuses, les lieux de guérison fréquentés par les saints – ainsi saint Vincent, le patron des vignerons –, les pierres sibyllines et, plus récemment, la visite des ovni, sont autant de phénomènes insolites que l’auteur, avec sa plume reconnaissable entre mille, nous fait découvrir à la manière des pèlerins d’autrefois.

Laissez-vous donc happer par cette chronique inimitable !

Alain Lequien est un passionné de l’histoire bourguignonne et franc-comtoise. Après avoir écrit Les Maîtres de l’œuvre en 2004 et Vauban le Bourguignon en 2006 (Éditions de Bourgogne), il fait publier, en 2009, son Dictionnaire des 1 000 mots du Moyen Âge, ainsi que les très remarqués Mystères de Saône-et-Loire et Mystères du Jura, chez De Borée.

Aujourd’hui, en fin connaisseur du terroir, il fait acte d’historien pour nous livrer des récits passionnants, puisés dans les entrailles de la Côte-d’Or.

Le sens tel que nous le définissons dans notre recherche personnelle n’est pas un acquit et ne se donne pas, au sens littéral du terme. Il se découvre, il se construit, il se conquiert au fil du temps de l’expérience de sa propre vie, de son parcours initiatique. Il ne se décrète pas, quand il apparaît, il est évident.

En recherchant et en construisant le sens que nous voulons donner à notre vie, nous élaborons des pensées et des actes en relation avec nos propres exigences. Tout en prenant en compte les événements de notre vie, notre environnement, les contraintes sociales que nous subissons ou les contraintes personnelles que nous nous donnons. Et ce sens est caché, tel un talisman, il n’apparaît pas évident de prime abord.

Une fois découvert, construit, il ne devient pas une vérité définitive, mais un outil dynamique nécessaire pour mieux être, mieux vivre, mieux aimer et mieux accepter l’autre dans sa différence qui ne peut que nous enrichir.

Cet outil nous sert alors pour prendre de la distance, pour sortir de l’illusoire de choses qui nous paraissaient si importantes, si essentielles, alors qu’elles n’étaient que des miroirs aux alouettes.

Bonne lecture. Alain

Passionné des religions antiques perses, du symbolisme des bâtisseurs du Moyen Âge, du monachisme, Alain Lequien nous fait voyager au-delà du temps et de l’espace. Il nous invite à l’accompagner dans sa démarche initiatique.

L’auteur nous invite à revisiter la Tradition primordiale issue de la découverte du Corpus Hermeticum d’Hermès Trismégiste. Puis, c’est un voyage dans l’empire perse avec Ahura Mazda, Zarathoustra, Mithra, les Mystères grecs, Mani, …  

Au travers la Fraternité des Bons Cousins Charbonniers, nous abordons une tradition occidentale qui se fondra au sein de la Franc-maçonnerie. Dans le dialogue entre un chrétien et un soufi, nous voyagerons de l’Orient à l’Occident.  .  

Peut-il y avoir une initiation sans Mystères (que l’auteur différencie de l’énigme et de la chose mystérieuse) ? Comment passer du temple matériel de pierre au Temple spirituel de l’Homme ? Comment la Beauté, celle du cœur, peut aider l’homme à trouver sa cohérence ? Des questions plus que des réponses.

Le conte racontant le chemin initiatique de Gluck nous fait toucher notre devoir d’être des porteurs de lumière dans les ténèbres du monde profane.

A l’image de Victor Schœlcher, dont l’action permit l’abolition de l’esclavage, ou de ce responsable syndical patronal, l’action profane du franc-maçon est de lutter pour le progrès de l’humanité, le respect des valeurs par l’exemplarité de ses actions. Ils sont alors des hommes de devoir.     

Je serais au Salon du Livre de Paris – Porte de Versailles - pour dédicacer 2 de mes ouvrages :

- Dictionnaire des mille mots du Moyen-Âge

- Réflexions maçonniques en Loge symbolique. 

Stand Éditions Doyen - R54.

A très bientôt

Je ne partageais pas son rêve idéaliste communiste dont il a violemment combattu les excès dans plusieurs de ses chansons comme « Le Bilan » ou « Camarade ».

Esprit libre, il fut l’un de ses grands poètes tels Brassens, Brel, qui défendaient notre belle langue française.

Parmi plus de 200 chansons, 200 poèmes, on ne peut oublier « Les Yeux d’Elsa » et « Que serais-je sans toi » d’Aragon, « Frederico Garcia Lorca », « Potemkine », « La Montagne », « C’est beau la vie », « La femme est l’avenir de l’homme », « Ariane », « La Complainte de Pablo Neruda », « les Belles étrangères », « Alléluia », « Ma Môme »,...

Sans oublier ceux qu'il a écrit pour des chanteurs comme « Mon Bonhomme » pour Zizi Jeanmaire, « Deux enfants au soleil » pour Isabelle Aubret, «Mon vieux » pour Daniel Guichard, …

Où que tu sois, tu resteras l'un de mes poètes préférés.

C'est à la salle polyvalente de Créancey que la Société des auteurs de Bourgogne (SAB) a choisi cette année de se réunir pour son assemblée générale annuelle.

Rencontre avec le président, Alain Lequien.