À l’époque médiévale, la duchesse de Normandie ne pouvant enfanter, demanda l’aide du diable, donnant naissance à Robert. En grandissant, l’enfant se montra d’une violence et d’une cruauté inouïe lui valant le surnom de Robert le diable. Pour calmer ses ardeurs, son père l’adouba à 17 ans, pensant qu’il adopterait l’esprit chevaleresque. Il profita de ce statut pour diriger une bande de brigands qui terrorisa la campagne.

Apprenant son origine, il se rendit en pèlerinage à Rome pour se confesser au pape. Comme punition, son confesseur lui ordonna d’agir comme un fou, en faisant vœu de silence et partageant la nourriture des chiens. À trois reprises, les Sarrasins attaquèrent Rome. Prête à succomber, la cité fut sauvée in extremis par la présence d’un mystérieux chevalier tout de blanc vêtu. C’était Robert, armé par Dieu.

Au bout de sept ans, son secret découvert, l’empereur lui propose la main de sa fille. Devenu Robert le Bienheureux, il l’épousa avant de diriger le duché de Normandie avec bienveillance.  

   Durant toute la période du symposium Mains d'Art, du 23 juin au 20 juillet 2025, des expositions de peinture et sculpture seront visibles dans plusieurs lieux du village, notamment au gîte de la Métairie. C'est dans ce lieu que le 13 juillet, je serais présent comme auteur. 

   Vous pourrez non seulement nous visiter, mais aussi échanger sur Saint-Jacques de Compostelle, la révolte des ardoisiers de Trélazé, (mon dernier ouvrage) mais encore sur mon périple en 1965 (j'avais 16 ans) vers un kibboutz en Israël, raconté dans Destins croisés. Sans oublier d'autres ouvrages dont Vauban, humaniste et précurseur du Siècle des Lumières. 

  Je me ferais un plaisir de vous dédicacer ces ouvrages.

Alors ? à bientôt. Cordialement Alain