activites d'auteur

Dédicaces. Samedi après-midi, la librairie Forum a reçu Alain Lequien. Le Dijonnais a proposé une séance de dédicaces de son dernier ouvrage Les nouveaux mystères de Saône-et-Loire. Le livre suit un premier opus très bien vendu dans le département, et d’autres volets consacrés aux départements limitrophes.

Dimanche (27 février 2011), vous retrouverez dans nos pages (Journal de Saône-et-Loire) une des histoires mystérieuses d’Alain Lequien.

Rendez-vous dans une émission en direct sur Radio-Bresse jeudi 24 février à 10 heures.

Cordialement.

« C'est le rôle d'un auteur de faire ressurgir les choses du passé, de remettre des événements anciens en mémoire », assure Alain Lequin. Ainsi retrouve-t-il des documents, des informations pour étayer un récit entendu. Ainsi évoque-t-il quelques anecdotes de l'histoire, un retour de l'ordre du Temple aux alentours de 1810, le diable de Saugy, l'histoire de Benoit devenue Benoite…

C'est grâce à son intérêt pour l'histoire locale qu'Alain Lequin, avec l'ouvrage Les nouveaux mystères de Saône-et-Loire, publié chez De Borée, rencontre ses lecteurs.

    Après avoir quitté la Société des Auteurs de Bourgogne, j’ai rejoint comme sociétaire la Société des Gens de Lettres (SGDL).

   A l’occasion d’un stage de professionnalisation que je viens de terminer (avec des intervenants de très haut professionnalisme - je vous en reparlerais), je voulais vous présenter cette association par trop méconnue par de nombreux auteurs.

   Fondée en 1838, sa vocation est la défense du droit moral, des intérêts patrimoniaux et du statut juridique et social de tous les auteurs de l'écrit, quel que soit le mode de diffusion de leur œuvre. Organisme de réflexion, d'initiative et de surveillance au service de la création intellectuelle, la SGDL est attentive à toutes les mutations dans la production et les modes de diffusion de l'écrit (c’est la cas avec le livre numérique actuellement) et se donne comme devoir d'initier des changements dans les lois et les usages, de surveiller leur application et de servir de médiateur entre les divers partenaires, publics ou privés. Elle s'attache à la promotion du patrimoine littéraire et poursuit activement les échanges culturels avec les autres pays. Elle dispense des prix littéraires avec les dons et les legs qu’elle a reçu.

Elle est présente dans toutes les organisations nationales et internationales qui travaillent en permanence à la défense des auteurs et à l'unification des systèmes juridiques. De plus, elle apporte un soutien individuel aux auteurs avec une assistance sociale en période difficile et un conseil juridique et social.

La SGDL propose également un service de protection des œuvres, sous toutes leurs formes, qui constitue une preuve d'antériorité en cas de plagiat.

Les bureaux se trouve dans l’hôtel de Massa (voir photo), appartenant à l’État et cédé à la Société des Gens de Lettres pour un bail emphytéotique jusqu’en 2026. Il est classé Monument historique depuis 1926. A suivre …

Chers amis et lecteurs,

Je vous invite à découvrir mes derniers articles dans mes autres blogs (voir dans la liste dans la rubrique liens en bas, à droite). Aujourd'hui, pour la Saône-et-Loire, un article sur la femme momifiée de Macon, pour la Cote d'Or, les galanteries d'Henri IV à Fontaines-Française, pour le Jura, la boule lumineuse de Sellières le 8 mai 1979. Bonne lecture.

Trés cordialement - Alain

A l'occasion de la sortie de mon neuvième ouvrage, les Nouveaux Mystères de Saône-et-Loire, j'aurais le plaisir de vous accueillir et d'échanger avec vous au cours de mes prochaines dédicaces prévues les :
	29 janvier 2011 - Centre Leclerc à Macon 4 février 2011 - Géant Chalon-sur-Saône 12 février 2011 - Cultura à Macon 18 février 2011 - Centre Leclerc Chalon-sur-Saône 19 février 2011 - Forum Moreira à Louhans 26 février 2011 - Centre Leclerc Montceau-les-Mines

Sans oublier le premier volume des Mystères de Saône-et-Loire, parus en 2009, les Mystères du Juraet les Mystères de la Côte d'Or parus en 2010.Très cordialement. Alain Lequien

Sortie le 21 janvier 2011 de mon dernier ouvrage. Consultez le blog :

http://mysteres-saone-et-loire.over-blog.com/

Dans le cadre d'un article paru dans France-Soir du 21 décembre

2010, Marie-Laure Hardy, journaliste, m'a interrogé sur ma perception de cet afflux de touristes au village de Bugarach (Aude) espérant échapper à l'apocalypse prédite pour la fin de 2012. En voici quelques extraits.Trés cordialement. Alain

A lire dans quelques semaines dans mon nouvel ouvrage : les Nouveaux Mystères de la Saône-et-Loire - éditions de Borée

   Eve est la mère des vivants mais aussi la compagne d’Adam sur laquelle le livre de la Genèse, fait retomber l’initiative et une grand part de la responsabilité du péché originel. Ainsi, les autorités religieuses ne manquèrent-elles pas de considérer les femmes comme des filles d’Eve séduisantes et dangereuses, des créatures inférieures que l’homme devait dominer pour ne pas se laisser entrainer dans ses instincts.

   Aucune figuration de cet état d’esprit n’est plus significative que cette Eve d’Autun sculptée au début du XII^e siècle. On y voit une Eve rampante, lascive, prenant appui sur ses genoux et sur les coudes au milieu de végétaux. On la dirait photographiée, prise sur le vif, au moment même où elle cueille un fruit qu’elle va offrir à son compagnon. Elle est belle et devait soulever l’admiration avec son corps nu, véritable modèle pour l’art symbolique qu’est l’art roman.

   Mais, comme cela arriva pour le tympan du Jugement dernier (voir ci-dessous), les chanoines devaient considérer ces deux tympans comme trop obscènes. Je dis bien ces deux tympans, car si l’on peut encore admirer celui d’Eve, on n’a toujours pas retrouvé celui d’Adam. Ces œuvres étaient uniques et certainement trop suggestives. C’était l’une des rares fois, peut-être même la seule, où Adam et Eve étaient représentés allongés, et non debout auprès de l’arbre de la Tentation.

Ils furent vendus par les chanoines à un entrepreneur qui en fit usage comme pierre de construction. C’est ainsi que l’on retrouva Eve dans les murs … d’une pharmacie autunoise.

   Quand à Adam ? Est-il toujours inséré dans un mur ? A-t-il été détruit ? Est-il dans une collection particulière, soigneusement conservé comme trésor familial ?  

   Peut-être qu’un jour, espérons-le pour l’art, il réapparaitra pour être mis à la disposition de tous.  

C'est avec une grande joie que j'ai participé à la fête médiévale de Chateauneuf-en-Auxois.

L'accueil fut chaleureux, sans "prise de tête", chacun jouant avec une grande cordialité son rôle.

J'étais dévolu à être le "moine du scriptorium" et j'ai pu ainsi raconter des "légendes et des diableries du Frère Gaspard."

Un vrai moment de bonheur où l'on ne se "prend pas la tête" et où tout le monde ne s'est pas pris au sérieux.

Enfin une respiration ... A dans deux ans.